Cuir et candaulisme

Catégories : Libertins Femmes soumises sexuelles
il y a 7 ans

Le jeudi soir, il y a des parties cuir et vinyle. Personne ne se rappelle pourquoi c’est le jeudi qui a été choisi, et c’est le dernier des soucis de la femme étendue sur le dos, bras et jambes en croix, sur un lit garni d’un matelas rempli d’eau. Une petite culotte en cuir noir, comme son soutien-gorge, le bandeau qui l’aveugle et le bâillon en forme de pénis qui s’enfonce dans sa bouche. Ses poignets et ses chevilles sont pris dans des bracelets de cuir reliés aux montants du lit par des cordes tendues.

Ses gémissements étouffés sont le seul bruit qu’on entend dans la pénombre de la pièce Une douzaine d’hommes et de femmes regardent un jeune homme, les genoux enfermés dans le matelas à eau, pilonner en cadence entre les cuisses écartées. La femme tire sur ses liens, essaie de dire quelque chose à travers le bâillon. L’homme retire son sexe de la chatte gluante et dénoue le bâillon.

  • Demande, dit-il, demande la permission de jouir.

  • Est-ce que je peux jouir ? demande-t-elle d’une voix suppliante, j’ai envie.

L’homme reprend ses poussées et, bientôt, la femme commence à respirer bruyamment, puis à hurler. Tout le monde comprend qu’elle jouit, et le silence s’épaissit. Un homme vêtu d’une serviette autour des reins dit :

  • Elle jouit, vous pouvez me croire.

Il sait de quoi il parle : c’est son mari, il est ravi. L’amant de sa femme jouit à son tour et se retire en laissant sur le plastique du matelas une traînée de sperme. On délivre la femme qui se relève et referme la braguette de sa culotte en cuir avant de s’allonger sur un divan à côté de son mari dont elle branle le sexe en érection en lui mettant deux doigts dans l’anus.

  • C’est la troisième maison que nous essayons ce soir, dit-elle, j’ai joui à chaque fois.
Cette ressource n'a pas encore été commentée.
Publicité en cours de chargement